3 Quel beau programme ! J’espĂšre de tout coeur que, pendant ces 365 jours de ton nouvel Ăąge, tu rencontreras la joie, tu flirteras avec le bonheur, tu trinqueras avec la chance, tu riras avec la santĂ© et tu profiteras de la vie. Je te souhaite un trĂšs heureux anniversaire ! Exprimersa dĂ©ception avec un beau texte. PrĂ©nom Ă  qui s’adresse la colĂšre. Je t’écris cette lettre car je suis trĂšs en colĂšre contre toi. Ma colĂšre est tellement grande que je ne suis pas en capacitĂ© pour l’instant de parler de façon directe avec toi. Je choisi donc de t’exprimer mon mĂ©contentement par ce message. PoĂšme: Elle est lĂ  devant moi, ça me fait de l’effet. Et voilĂ  ma chance, quel bonheur, quel bienfait. Un regard, un sourire, me voilĂ  stupĂ©fait. Elle m’avait remarquĂ©, tu vois bien c’est parfait. C’est dans ce silence, Ă©tant presque imparfait. Des questions, des doutes, c’est la peur d’un mĂ©fait. Cette femme me rassure Vay Tiền Nhanh. Vous souhaitez envoyer un magnifique texte d’amour Ă  votre amoureux? Trouvez le message d’amour qu’il apprĂ©ciera, et touchera son cƓur !!! Choisissez parmi nos quelques exemples de petits mots d’amour, le texte pour lui dĂ©clarer vos sentiments envers lui ! Dites lui je t’aime », beau texte d’amour et magnifique message d’amour en sms Mon amour, tu m’as montrĂ© que le bonheur pouvait avoir une place dans ma vie car depuis que je t’ai rencontrĂ©e je suis la personne la plus heureuse du monde. Je t’aime tellement. Mon chĂ©ri, toi qui me donne le sourire Ă  chacun de tes messages et appels. Mon sourire ne me quitte plus quand je suis physiquement avec toi, quand je repense Ă  nos moments passĂ©s ensemble cela m’apporte tellement de joie. Je t’aime reviens vite. Car on ne vit qu’une seule fois et je veux vivre mon unique vie avec toi, mon ange gardien, toi la seule personne que j’aime plus que tout et n’importe qui. Quand je suis avec toi, je veux profiter de chaque instant comme si c’était le dernier pour ne rien regretter. Vivre chaque instant Ă  tes cĂŽtĂ©s intensĂ©ment et j’espĂšre jusqu’à mon dernier souffle car tu es l’homme de ma vie. Mon amour, je sais qu’il peut m’arriver de douter parfois mais je suis sĂ»re de 3 choses la premiĂšre est que je t’aime de tout mon cƓur et de toute mon Ăąme ; la deuxiĂšme est que je serais toujours lĂ  pour toi car depuis que nos chemins se sont croisĂ©s tu as pris une place Ă©norme dans ma vie et la derniĂšre chose dont je sois sĂ»re est que je veux passer le reste de ma vie avec toi! Mon chĂ©ri je t’aime Ă  la folie, pour moi ton bonheur est ce qui m’importe le plus. Hey toi ! Oui toi, qui lis ce message, tu es la seule personne qui compte au point de passer avant tout. Tu passes avant mes passions, mes envies, mon bonheur, ma vie. Tu es tout pour moi et sans toi je ne peux plus exister, ni mĂȘme respirer. Mon amour je t’aime comme il n’est pas possible d’aimer, je t’aime au-delĂ  de tout prĂ©jugĂ©s, je t’aime avec passion et sincĂ©ritĂ©.. Mon chĂ©ri saches que tu es le seul Ă  dĂ©tenir la clĂ© de mon coeur, tu peux donc choisir de l’ouvrir et de prendre tout l’amour qu’il te revient ou de le laisser fermer et de garder la clĂ© en sĂ©curitĂ©. Quoi que tu choisisse mon coeur est tiens pour l’éternitĂ©. Mon chĂ©ri quoi que peuvent dire les gens ne doute jamais que tu es une personne merveilleuse, forte, unique et surtout essentielle Ă  ma vie. Je me fou de ce que pensent les autres, je te vois tel que tu es rĂ©ellement et Ă  mes yeux, tu es exceptionnel et tu mĂ©rites tout mon amour. Je ferai tout mon possible pour te rendre heureux. Je t’aime! Cela peut paraĂźtre une simple phrase mais cela veut dire beaucoup plus pour moi. Je t’aime, c’est un sentiment de bonheur partagĂ©, une sensation intense et merveilleuse, mais aussi de l’admiration pour toi, de l’amitiĂ©, de l’amour, du respect, de la passion. C’est aussi de la sincĂ©ritĂ©, une envie de t’embrasser ou bien encore de te serrer dans mes bras. Copyright *Utilisation personnel avec mention de la source et lien obligatoire. Sujet Je suis beau comme un Dieu kritox MP 06 novembre 2010 Ă  174835 Et ouais C'est la vie , je suis trop BG ceux qui disent le contraires sont des moches frustrĂ©s illusiion94_- MP 06 novembre 2010 Ă  174857 lerhit-666 MP 06 novembre 2010 Ă  174928 KOM T MOCHE otmane60 MP 06 novembre 2010 Ă  174936 Mange un gĂąteau est lit des bĂȘtise * Cuba2 MP 06 novembre 2010 Ă  174959 KOM T BO kritox MP 06 novembre 2010 Ă  175314 Stef-207 MP 06 novembre 2010 Ă  175337 Non ! kritox MP 06 novembre 2010 Ă  175509 ça rage ouais [PL]Tara MP 06 novembre 2010 Ă  175552 Tu me fais penser Ă  ... LĂ©onardo Dicaprio P En moins beau.... Thana2010 MP 06 novembre 2010 Ă  175638 Bonsoir,Je vais devoir aller au toilette merci. kritox MP 06 novembre 2010 Ă  175733 hunter-tri MP 06 novembre 2010 Ă  175826 kritox MP 06 novembre 2010 Ă  175914 ça rage Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ? Avant de poursuivre par cette deuxiĂšme partie, je rĂ©itĂšre l’introduction de la premiĂšre partie, publiĂ©e fin janvier 2015. Les chants polyphoniques pyrĂ©nĂ©ens du moins ceux de ma connaissance, interprĂ©tĂ©s en BĂ©arn s’expriment soit en Français, soit en BĂ©arnais-Gascon-Occitan ces nuances devraient faire l’objet d’un article ultĂ©rieur. Plusieurs facteurs peuvent expliquer leur transmission et aussi leur dĂ©veloppement depuis quelques dĂ©cennies. Dans les annĂ©es 60, pour notre part, la connaissance de ces chants puis leur pratique rĂ©guliĂšre rĂ©sulte des Ă©changes constants avec les gĂ©nĂ©rations plus ĂągĂ©es, au cafĂ© du village principalement, mais aussi lors de cĂ©rĂ©monies ou de fĂȘtes familiales, sans compter les rĂ©unions autour des buvettes lors d’un marchĂ©, d’une foire, d’un match de rugby. Ces gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes avaient elles aussi appris de leurs parents et grands-parents et reçu en plus l’apport de textes extĂ©rieurs Ă  la rĂ©gion, ramenĂ©s en BĂ©arn au retour de dĂ©placements, professionnels ou non, dans l’hexagone conscription, guerre, hivernage, estivage, migration des chevriers vers Paris, migration des chĂątreurs de cochons vers le Sud de la France et mĂȘme vers l’Espagne et le Portugal. Dans la pĂ©riode moderne interviennent deux Ă©lĂ©ments favorisant la propagation de ces chansons, anciennes ou nouvelles. Tout d’abord le dĂ©veloppement des techniques d’enregistrement cassettes et disques vinyle puis CD puis DVD puis Internet. Ensuite le foisonnement de festivals, concerts et diverses reprĂ©sentations, allant de pair avec la multiplication des groupes de chant et l’introduction d’instruments musicaux. Pour mettre un peu d’ordre dans mes feuilles et cahiers de chants, je me lance dans une classification de ces chants, mais en me contentant des textes en Français car il existe dĂ©jĂ  de nombreux livrets de chansons en Occitan. Les listes Ă  venir proviennent du rĂ©pertoire du groupe de Saint-PĂ©e parfois des chants interprĂ©tĂ©s rĂ©guliĂšrement dans notre jeunesse, parfois de façon plus Ă©phĂ©mĂšre. J’exclus les chansons de variĂ©tĂ©, qu’il nous arrivait de pratiquer, car leurs textes se retrouvent facilement ailleurs Brassens, FerrĂ©, Vian, Leclerc 
 Je me restreints aux titres des chansons et au premier couplet pour chacune d’elles, ainsi qu’au refrain s’il existe. Ne figurent que des textes dont je connais l’air musical. Les paroles complĂštes sont bien sĂ»r Ă  la disposition de toute demande. Je dĂ©gage trois catĂ©gories notĂ©es 1 2 3 dans ce qui suit 1 chants traditionnels de rencontres, d’amours ça se termine mal bien souvent !, de berger et de bergĂšre. 2 chants de chasse, de guerre Ă©poque napolĂ©onienne en gĂ©nĂ©ral, d’engagement. 3 chants festifs chansons Ă  boire, paillardes on eut notre Ă©poque, rugbystiques. Du fait du nombre Ă©levĂ© de contributions, je regroupe l’ensemble en deux parties, de 36 puis 35 titres respectivement. Classement alphabĂ©tique et catĂ©goriel des 35 derniers textes. I/ il y a sept ans 2 -l’ Internationale 2 J/ j’ai tant aimĂ© une beautĂ© 1 – je m’en vais joyeux 1 – je me suis engagĂ© 2 – la jeune fille du mĂ©tro 3 – je viens d’entendre une chanson 1 L/ lĂ -haut sur la montagne 1 – larirĂšte 3 M/ mon Dieu que j’en suis Ă  mon aise 1 – montagnes PyrĂ©nĂ©es 1. N/ nous les gars du FCO 3. O/ oĂč vas-tu de ce pas Nicolas ? 1. P/ par un lundi 1 – pom, pom, qui frappe Ă  ma porte ? 1 – ProspĂšre 1. Q/ quand je suis nĂ© 3. R/ le refuge 1 – rester cĂ©libataire 1 – riche paysan 1 – la rose et la lune 1 – rue Gay-Lussac 2. S/ silence ! la nuit pas un bruit ! 1 – sous le beau ciel des belles PyrĂ©nĂ©es 1 – sur la montagne le vrai bonheur 1 – sur la pente d’une colline 1 – sur le pont d’Avignon 1 – sur l’pont de l’Isle 2. T/ tout en passant Ă  l’entour du moulin 1 – trois jeunes filles 1. U/ un beau soir au clair de lune 1 – une fillette de quinze ans 1. V/ le vieux moulin 1 – vive la rose et le lilas 1. Y/ y’a rien d’aussi charmant 1. DĂ©tails titre, premier couplet, refrain. Il y a sept ans. Il y a sept ans que je suis dans l’armĂ©e, sans espĂ©rer de prendre mon congĂ©. L’Anglais m’a pris, pour dĂ©serteur de France, sur mon chemin est venu m’arrĂȘter. Internationale l’. dans les premiĂšres annĂ©es 70 des rencontres festives dĂ©rivaient parfois, pour quelques instants, sur des rĂ©volution-airs. Debout les damnĂ©s de la terre ! Debout les forçats de la faim ! La raison tonne en son cratĂšre, c’est l’éruption de la faim. Du passĂ© faisons table rase, foule esclave, debout ! debout ! Le monde va changer de base, nous ne sommes rien, soyons tout ! R C’est la lutte finale, groupons-nous et demain, L’Internationale sera le genre humain. J’ai tant aimĂ© une beautĂ©. J’ai tant aimĂ© une beautĂ© mais Ă  la fin elle devint farouche. Je lui ai dit d’une voix douce belle, aimez-moi. Faisant semblent de l’embrasser, sitĂŽt la belle me repousse. Je m’en vais joyeux. Je m’en vais joyeux sur le chemin de pierre. Je chante au ciel bleu la chanson du pays. Fleur Ă  mon chapeau, fleur Ă  la boutonniĂšre, Je suis du hameau le vagabond fleuri. R Tralala 
 Chante mon cƓur. Tralala 
 J’aime les fleurs. Je me suis engagĂ©. Je me suis engagĂ© pour l’amour d’une belle. C’est pas pour un baiser qu’elle m’a refusĂ©, Mais pour l’anneau d’or qu’elle me refuse encore. Jeune fille du mĂ©tro la. C’était une jeune fille simple et bonne, qui ne demandait rien Ă  personne. Un jour dans l’mĂ©tro y avait presse, presse, presse, presse. Un jeune homme osa je l’confesse, fesse, fesse, fesse Lui passer la main dans les 
 ch’veux. Comme elle avait bon cƓur elle s’approcha un peu. Tagadagada pom pom pom bis Je viens d’entendre une chanson. Je viens d’entendre une chanson, d’une fillette et d un garçon Qui a trompĂ© une fille. Il l’amena dedans les bois faire des fantaisies LĂ -haut sur la montagne. LĂ -haut sur la montagne j’entends quelqu’un pleurer. Semble la voix de ma maĂźtresse, ĂŽ oui j’irai la consoler. LarirĂšte. Jeaneton prend sa faucille, larirĂšte, lalirĂšte, Jeaneton prend sa faucille pour aller couper des joncs. Mon Dieu que j’en suis Ă  mon aise. ce chant n’appartenait pas Ă  notre rĂ©pertoire mais comme j’en apprĂ©cie texte et mĂ©lodie je l’inclus dans ce recueil il est issu du carnet de chansons » Ă©ditĂ© par Joan de Nadau. Mon Dieu que j’en suis Ă  mon aise, quand ma mie est auprĂšs de moi. Tout doucement je la regarde, et je lui dis embrasse-moi » bis. Montagnes PyrĂ©nĂ©es. Montagnes PyrĂ©nĂ©es, vous ĂȘtes mes amours. Cabanes fortunĂ©es, vous me plairez toujours. Rien n’est si beau que ma patrie, rien ne plaĂźt tant qu’à mon amie. Ô ! Montagnards ! bis Chantez en cƓur bis De mon pays bis La paix et le bonheur. Tralalala 
 R Halte-lĂ  ter Les montagnards bis Halte-lĂ  ter Les montagnards sont lĂ  Les montagnards bis Les montagnards sont lĂ . Nous les gars du FCO. Nous les gars du FCO, nous ne sommes pas trĂšs costauds. DĂšs que l’on voit un ballon, nous sommes comme des lions. R Et l’on joue sans complexes, comme des BĂ©arnais. OĂč vas-tu de ce pas Nicolas ?. OĂč vas-tu de ce pas Nicolas ? OĂč vas-tu de ce pas ? Tu fais la triste mine, tu sembles un pĂ©nitent. As-tu quelque maladie ? Quelque languissement ? Par un lundi. Par un lundi, dans la matinĂ©e, la belle s’en va dans son prĂ©. Elle lui dit amant trompeur, d’oĂč reviens-tu ? La promesse que je t’ai faite, je m’en dĂ©mets . Pom, pom, qui frappe Ă  ma porte ?. Pom, pom, qui frappe Ă  ma porte ? bis Ouvrez, ouvrez, la belle ouvrez ! C’est votre amant vient vous parler. ProspĂšre. Un jeune amant de 21 ans est parti pour l’armĂ©e. Est parti pour l’armĂ©e, Ă  l’ñge de raison. Quittant la plus belle des filles, qui reste dans Lyon. Quand je suis nĂ©. Quand je suis nĂ© je suis nĂ© en automne, pĂšre Bacchus me l’avait toujours dit, Me baptisant au jus de la treille, il me donna le nom de sans souci. Refuge le. Je sais, dans la montagne, un refuge perdu, Qui se mire Ă  l’eau claire, des lacs verts d’OrgĂ©lu. Ouvert, aux quatre vents, aux montagnards perdus, Dans la brume et la neige, comme un port de salut. R Qu’il fait bon, s’endormir, au refuge le soir, PrĂšs du feu, qui s’éteint, au pays des isards. Rester cĂ©libataire. Être mariĂ© c’est avoir une jambe cassĂ©e, C’est ĂȘtre condamnĂ© Ă  perpĂ©tuitĂ©. Une femme qui crie, qui dĂ©pense votre argent, Et qui vous trompe au moins dix fois par an. R Je suis, mon cher, cĂ©libataire, j’ai pas de beau-pĂšre, J’ai pas de belle-mĂšre, j’ai pas Ă  m’en faire. Si je vous dis, bonheur sur terre, C’est de rester cĂ©libataire. Riche paysan. J’ai un amant devant ma porte bis Qui vient une heure aprĂšs minuit, Frappe Ă  la fenĂȘtre prĂšs de mon lit. Rose et la lune la. Un soir tout en me promenant tout le long de la riviĂšre, Me promenant Ă  l’ombrage, craignant l’ardeur du soleil, Sur mon chemin j’ai rencontrĂ© ma douce amie du temps passĂ©. Rue Gay-Lussac. encore une chanson qui put nous entraĂźner quelque temps, issue du mai 68 parisien Aux barricades de Gay-Lussac, les EnragĂ©s en tĂȘte, Nous avons dĂ©clenchĂ© l’attaque, ah ! foutre-dieu, quelle fĂȘte ! On jouissait dans les pavĂ©s, en voyant le vieux monde flamber. R Tout ça a prouvĂ© Carmela, qu’la Commune n’est pas morte bis. Silence ! La nuit pas un bruit ! Dans notre village grĂące Ă  leurs parents, Les filles sont sages jusqu’à quatorze ans. R Silence ! Silence ! La nuit pas un bruit, Le jour s’avance, la nuit s’enfuit. Sous le beau ciel des belles PyrĂ©nĂ©es. Vois lĂ -haut ce pic rose plein d’audace, on dirait qu’il perce le firmament. Le soleil ne peut y fondre la glace, la neige est lĂ , blanche Ă©ternellement. Viens, fuyons, sous les ailes du tourisme, grisons-nous des beautĂ©s du col d’Aspin. Viens donc voir toutes les couleurs du prisme, du Tourmalet, enchantement sans fin. R Sous le beau ciel des belles PyrĂ©nĂ©es, laissons nos cƓurs vibrer Ă  l’unisson. Faisons tous deux de belles randonnĂ©es, ivres d’amour et de chansons. Par leur splendeur, notre Ăąme illuminĂ©e, s’extasiera devant tant de beautĂ©. Sous le beau ciel des belles PyrĂ©nĂ©es, chantons l’amour, chantons la voluptĂ©. Sur la montagne le vrai bonheur. Toi qui ne peux plus faire un pas, vois-tu lĂ -bas cette chaumiĂšre, Oui je vois la chaumiĂšre. Allons, frĂšre, pressons le pas. R Vois-tu cette chaumiĂšre ? Oui, je vois la chaumiĂšre, Qu’on aperçoit, lĂ -bas. LĂ -haut, lĂ -bas, bis LĂ -haut, lĂ -bas sur la montagne, Sur la montagne c’est le vrai bonheur, LĂ -haut, lĂ -bas sur la montagne, Sur la montagne c’est le bonheur. Sur la pente d’une colline. mĂȘme remarque que celle signalĂ©e pour mon Dieu que j’en suis Ă  mon aise » Sur la pente d’une colline, oĂč je la voyais chaque jour, Tout doucement je m’achemine, espĂ©rant toujours la revoir. Moi, le cƓur rempli de tristesse, j’erre Ă  travers les buissons. Oiseaux, suspendez vos chansons, car, moi, j’ai perdu mon amie. R HĂ©las, mon cƓur, hĂ©las ma joie, sans elle, ici bas tout pour moi Ne serait que soucis et peines. Oiseaux des bois, rĂ©pondez-moi bis N’auriez-vous point vu bis Madeleine ? Sur le pont d’Avignon. Sur le pont d’Avignon, trois filles s’y promĂšnent bis. La plus jeune des trois, plus belle que le jour, Trois jeunes capitaines, qui lui faisaient la cour. Sur l’pont de l’Isle. Sur l’pont de l’Isle, y’avait une sentinelle, Qui pendant la nuit, montait sa faction bis. Tout en passant Ă  l’entour du moulin. Tout en passant Ă  l’entour du moulin, j’aperçois la meuniĂšre, Astre du jour, soir et matin, la rose printaniĂšre. Voudriez-vous, la belle en passant, m’entretenir un petit moment bis. Trois jeunes filles. Trois jeunes filles sous un, pom, pom, oui sous un, lon, la, oui sous un pommier, Trois jeunes filles sous un pommier, ohĂ©. Un beau soir au clair de lune. Un beau soir au clair de lune, j’ai rencontrĂ© mes amours. Mes amours, mes amourettes. Je lui dis d’un air si doux, ma mignonne oĂč allez-vous ? Une fillette de quinze ans. Une fillette de quinze ans, mon Dieu qu’elle est tant amoureuse, Un jour s’en va dire Ă  sa mĂšre, ma mĂšre il me faut un amant. Car j’en serai la bienheureuse, je prierai dieu Ă  tout moment. Le vieux moulin. mĂȘme remarque que sur la pente d’une colline » C’est presque l’automne, les enfants moissonnent, et j’ai dĂ©jĂ  rentrĂ© mon bois. Ici, en uniforme, avec d’autres hommes, tu es parti, si loin d’ici, toi qui chantais. Vive la rose et le lilas. Mon amant me dĂ©laisse, oh ! Gai, vive la rose ! bis Je ne sais pas pourquoi, vive la rose et le lilas bis. Y’a rien d’aussi charmant. Y’a rien d’aussi charmant que la bergĂšre aux champs. Quand elle voit la pluie, dĂ©sire le beau temps, Afin que la bergĂšre, puisse passer le temps.

beau texte je suis comme je suis